Le voleur d’ombres – Marc Levy

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Bon, je ne vais pas vous faire un laïus sur Marc Levy. Vous savez qui il est et ce qu’il a écrit. Vous savez également ce que la critique littéraire en pense, tout comme ce que  certains connards qui se prennent pour des lettrés parce qu’ils ont lu 2-3 classiques, en disent.

Marc Levy, moi j’aime bien. C’est certes de la littérature « populaire » au même titre que du Musso, mais j’ai envie de vous dire, et alors putain ? Certaines personnes n’auraient jamais ouvert un livre de leur vie sans Marc Levy, Guillaume Musso ou  Katherine Pancol. Et rien que pour ça, on ne devrait pas être autant langue de pute avec ces auteurs.

Un jour un abruti m’a dit sur un ton dédaigneux « Non mais toi tu lis du Marc Levy ». Ca veut dire quoi ? Que parce qu’il m’arrive de lire de la littérature populaire je suis stupide, culcul la praline et inculte ?

Ben ouais, je lis du Marc Levy de temps à autre, j’aime bien ça passe tout seul, parfois ça fait du bien. J’ai une de mes tantes qui ne lit que des Harlequins. So what ? La littérature n’est pas faire que pour vous remettre en question ou faire une analyse sociologique et psychologique du monde. Non, la littérature est la pour vous faire voyager, pour vous évader, vous  consoler, vous faire ressentir toute une palette d’émotions.

Et si pour ressentir quelque chose vous avez besoin de lire du Harlequin, du Marc Levy ou du Tolstoï, j’ai envie de dire roule ma poule ! Au moins tu lis, le reste du monde, il peut aller se faire poutrer à Mykonos.

Brref.

De quoi ça parle ?

Un gamin arrive dans une école rurale à la rentrée. Il ne connaît personne, est timide et forcément ne se fait pas de copains. Un jour il se rend compte que son ombre est bizarre. Et pour cause ce n’est pas la sienne, c’est celle du gardien de l’école, et elle lui parle.  Il se rend compte de son pouvoir, lorsque son ombre se superpose à l’ombre de quelqu’un d’autre, il la vole.

Des années plus tard, il devient étudiant en médecine et est confronté à son enfance.

Ce que j’en ai pensé

Un bon petit Marc Levy, qui passe tout seul après l’ambiance glauquy de « La vie sexuelle des super-héros ». Bon on devine vite ce qu’il va se passer, comment ça va se finir tout ça tout ça. Mais un bon moment, frais et  sans prise de tronche.

Marc Levy – Le voleur d’ombres, 2010

Pocket – 304 pages

A acheter ici

Le site de l’auteur : http://www.toslog.com/marclevy/accueil

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Classé dans Littérature Française

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